Nos conseils

  1. Tout savoir sur les gilets de sauvetage

    Les gilets sont définis en fonction de leur flottabilité. La norme CE donne une valeur de flottabilité type (pour un porteur de 70 kg) exprimée en Newton (1 N = 0,1 Kg). Trois familles sont proposées en plaisance : les gilets d’une flottabilité de 50 N, 100 N et 150 N.

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  2. Balises de détresse, le nécessaire de survie

    Dans la famille de balise de détresse par satellite on trouve des balises EPIRB (Emergency Position Indicating Radio Beacon) et les PLB (Personal Locator Beacon).

    Les EPRIB sont les plus grosses. Elles sont reliées à un bateau et flottent.
    Les PLB sont personnelles. Elles ne flottent pas mais fonctionnent même à terre.

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  3. Les extincteurs sur votre bateau, soyez prévoyants

    La réglementation impose un extincteur par tranche de 20 m2 habitable. Pour un compartiment moteur, on peut faire appel à un modèle à commande à distance. L’idéal étant d'installer un extincteur par cabine. Pensez toujours à l'accessibilité de l'extincteur une fois que le feu aura démarré. Au niveau de la cuisine, il est prudent de le doubler par une couverture anti-feu

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  4. Feux et fusée de détresse

    Il faut bien connaître son matériel de pyrotechnie avant de l'utiliser. Lisez la notice au calme et surtout repérez le sens d'ouverture en pensant à une utilisation de nuit.

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  5. Les pompes de cales

    La pompe de cale immergée

    La pompe électrique

    La pompe manuelle

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  6. Harnais et longe de harnais

    Le harnais est une sorte de baudrier en sangle qui vient envelopper le haut du corps.

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  7. Sécuriser son bateau à flot

    Commencez par amarrer le bateau avec une amarre à épissure et un amortisseur. Le milieu marin étant très agressif pour les pièces d’amarrage, n’attendez pas le dernier moment pour remplacer vos amortisseurs et surtout, à doubler vos amarres pour plus de sécurité en cas d’absence prolongée pendant l’hiver. Prenez-en soin en ajoutant des protections d’amarres limitant le ragage.

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  8. Bien choisir sa cuisinière pour son bateau

    La durée de vie moyenne d’une cuisinière varie entre 15 et 20 ans. Elle peut être beaucoup plus courte si elle est de mauvaise qualité ou pas conçue pour une utilisation en milieu salin. Si vous souhaitez la changer pour un modèle plus récent ou plus complet, il faut prendre quelques précautions.

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  9. Faire du froid sur un bateau

    Vous disposez déjà à bord d’un réfrigérateur (ou congélateur) compact encastré dans la cuisine. Son groupe froid peut être séparé ou intégré. Il fonctionne ? Tant mieux ! Sinon, vous pouvez faire vérifier votre groupe froid par un spécialiste.

    Les deux pannes les plus courantes sont : le thermostat, il suffit de le changer ou une fuite de gaz, c’est plus ennuyeux. S’il s’avère que les frais à engager sont importants sans garantie de résultats à moyen terme, il est préférable de changer le groupe froid.

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  10. L'eau à bord d'un bateau : réservoirs ou dessalinisateurs

    Bien placer vos réservoirs

    Lorsque l’on envisage de rajouter un réservoir supplémentaire une question se pose : où le mettre ?

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  11. Choisir le groupe d'eau pour votre bateau

    La pompe doit impérativement être auto-amorçante, pouvoir tourner à vide un minimum de temps pour réamorcer le circuit, posséder une valve anti-retour et avoir la possibilité d’être installée sur silentblocs pour minimiser le bruit.

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  12. Chauffage et climatisation pour votre bateau

    Pour choisir un chauffage, il faut en premier, définir la puissance.

    Elle est exprimée en watts ou en kilocalories (une Kcal/h = 1,16 Kwatts).

    En pratique, on estime qu’un chauffage de 1500 watts convient à un volume de 20 à 25 m3, un de 2000 watts pour 30 m3 et un de 5000 watts pour 70 m3.

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  13. Les sanitaires, objectif propreté !

    En France, certaines zones du littoral nécessitent désormais d’être équipées en réservoir à eaux noires. Depuis 1998, tous les constructeurs européens de bateau ont l'obligation de prévoir un emplacement pour disposer une cuve à eaux noires. Cette dernière n'est fournie qu'en option. Pour les bateaux construits avant 1998, aucune obligation ne leur impose la présence d'un réservoir de rétention des déchets.

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  14. L'entretien d'un dessalinisateur

    Les membranes doivent être rincées à l'eau douce en pression ½ bar pour une immobilisation de 3 à 4 jours, ...

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  15. Producteurs d'énergie, objectif autonomie !

    Que ce soit pour la navigation (instruments, feux de route), pour la manoeuvre (guindeau) ou pour le confort (réfrigération, éclairage), impossible de se passer d'électricité. Tous ces  consommateurs sont  connectés à une sources  d'énergie (en 12 ou 24 volts) qu'il convient d'entretenir chargée. Et si cette charge peut s'obtenir en évitant de  revenir à terre, on gagne l'autonomie et l'indépendance si souvent recherchée en mer.

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  16. Les régulateurs de panneaux solaire

    Le rôle du régulateur est primordial. C'est lui qui détermine la capacité réelle de charge du panneau solaire.

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  17. Comment choisir sa batterie

    Capacité et technologie sont les deux paramètres qui cataloguent les batteries. Pour déterminer la batterie adaptée deux critères sont à prendre en compte : la consommation et l’utilisation à bord.

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  18. La mesure du courant, voltmètre ou ampèremètre ?

    La capacité de la batterie étant exprimée en ampères, il est nécessaire de connaître la consommation de tous les appareils du bord en ampères.
    Or certains fabricants l'expriment en watts. La conversion est simple :
    les watts sont le produit des volts par l’ampérage.

    Par exemple, sous 12 V, un appareil consommant 4 A a une puissance de 4 x 12 = 48 W.

    Un ampèremètre mesure le débit de l’alternateur dans la batterie ou la consommation d’électricité par les appareils. Un voltmètre mesure la tension et vous permet de connaître l’état de charge de votre batterie.

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  19. Distribution électrique, protection obligatoire !

    Le circuit électrique à bord d’un bateau est l’un des points qui pose le plus de problèmes et qui est, bien souvent, à l’origine d’incidents graves tels que le feu.

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  20. Convertisseurs, du 220V sur la batterie

    À bord, on trouve de plus en plus d’appareillages conçus à l’origine pour une utilisation terrestre.

    C’est le cas des chargeurs d’accus pour les appareils photos, les caméscopes, les téléviseurs, les lecteurs de DVD...

    Pour alimenter ces équipements, il faut une source de tension alternative 220 volts. La solution retenue est le convertisseur.

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