Nos conseils
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Le pilote de cockpit pour barre franche ou barre à roue n’est pas un pilote qui sera à même de barrer tout type de bateau quelles que soient les conditions météo. Il est réservé aux bateaux de moins de 12 m. Pour les unités plus importantes et une utilisation tout temps, il faut s’orienter vers les pilotes in board.
Pour les bateaux à barre franche, tous les modèles présentés ont une poussée suffisante. Ce qui fait la différence, c’est le temps de réponse. Si votre bateau est ardent, il est impératif de prendre un modèle qui a un temps de réponse (butée à butée) rapide (4 secondes maximum). Au contraire, s’il a des réactions lentes, vous pouvez vous contenter d’un temps de réponse plus long. Pour les bateaux équipés de barre à roue, le choix du marché reste très limité.
Les pilotes sont puissants et doivent barrer quelles que soient les conditions. Il est évident que si votre bateau est mal réglé, voire su -
Les appareils dotés de ce système offrent plusieurs fonctionnalités :
- sondeur classique (sondage vertical)
- sondage latéral (Side Imaging)
- GPS traceur/lecteur de carte
On peut donc utiliser ces fonctions à tour de rôle ou simultanément selon les besoins, sachant qu'elles sont à la fois complémentaires et étroitement liées.
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L'usage d'un smartphone semble infini. Connecté au monde Internet, il peut collecter de nombreuses informations. Les applications disponibles offrent tous les jours de nouvelles possibilités.
Pour un usage nautique, on notera parmi les principales :
- la météo (on a accès au fichiers GRIB ou aux prévisions météo)
- la cartographie (Les cartes numériques sont accessibles sur un smartphone)
- les marées (les prédictions de marées donne la hauteur d'eau dans tous les ports). -
La technologie Spread Spectrum des sondeurs Garmin détecte les plus petites cibles et offre une excellente résolution à toutes les profondeurs. De plus, elle permet aux pêcheurs de travailler à des fréquences fixes spécifiques afin de détecter plus particulièrement certaines espèces de poissons comme le bar ou le calamar par exemple.
Parfaitement adaptée aux exigences de la pêche sportive, cette technologie offre d'avantage de précision pour le repérage des cibles, pour la définition de la structure du fond et supprimer les interférences ou les bruits de surface. Enfin, elle offre une interprétation des fonds simplifiée tout en assurant une navigation plus sûre et une pêche plus efficace. -
Dans ce premier tutoriel, nous vous présentons les réglages de configuration des combinés HUMMINBIRD.
Dans ce deuxième tutoriel, nous vous présentons le réglage des combinés HUMMINBIRD en mode sondeur.
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Installé sur le pont, un panneau est sujet aux intempéries et aux salissures. Pour qu’il garde sa transparence, un minimum d’entretien est nécessaire.
- En premier, après chaque sortie, rincez-le à l’eau douce pour ôter le sel.
- Si la glace possède des microrayures, vous pourrez les rattraper à l'aide de produits (voir le polish plexi dans le catalogue) à condition de jouer de l'huile de coude.
- Si le panneau possède des rayures importantes ou des micro-cassures internes (dues au vieillissement), il faut changer la glace.
- Sur les panneaux disposant de fermoirs à vis ne jamais serrer exagérément.
- Eviter la graisse sur les joints, elle garde les salissures et forme une sorte de colle avec le sel qui endommage les caoutchoucs. -
On peut classer les poulies en cinq familles :
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On peut être amené à installer des bloqueurs supplémentaires (renvoi de manœuvres au cockpit, cordage d’enrouleur...) ou simplement remplacer les modèles existants.
Le choix du bloqueur doit être déterminé principalement en fonction du diamètre du cordage. Un bloqueur est toujours donné pour un diamètre de cordage minimum et un maximum voire pour trois (mini, recommandé, maxi). Par exemple 6 à 10 mm ou 6, 8, 10 mm. A chaque fois est indiquée une charge de travail maximum (par exemple 500 kg).
Depuis peu, certains bloqueurs sont destinés aux cordages exotiques (Kevlar®, Aramide®...) qui ont tendance à glisser dans les bloqueurs standard. -
Lorsque l’on remplace un winch, bien souvent l’emplacement et le perçage sont déterminés. Ce qui implique de prendre un modèle identique en encombrement mais pas nécessairement en fonction. On peut remplacer un winch standard par un winch self-tailing avec 1 ou 2 vitesses.
Un winch self-tailing permet une utilisation plus facile par une seule personne car il ne faut pas tenir le cordage en sortie. -
A l'origine l'enrouleur est apparu pour faciliter le travail de réduction de voilure. Fini d'aller changer de foc sur la plage avant quand le vent monte, il suffit de le rouler en restant à l'abri dans le cockpit. Seulement le système à une limite, une fois roulé le génois forme une grosse poche difficilement résorbable. Trop creux, il devient trop puissant. Ainsi sont apparues des trinquettes (souvent aussi sur enrouleur). Quand le vent monte on roule le génois pour dérouler la trinquette, plus petite et plus plate. C'est une très bonne solution. L'enrouleur ne sert plus alors que de système de rangement de la voile. Soit il est roulé, soit déroulé. Un système tout ou rien. Ainsi est né le stockeur qui ne permet pas de position intermédiaire mais qui reste à poste. Enfin, on peut être amené à vouloir envoyer des voiles supplémentaires (principalement au po
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En évitant le sertissage (à réaliser avec une machine spécifique), les terminaisons à montage manuel représentent une alternative indispensable pour ceux qui veulent s'épargner de fastidieux calculs de longueur de câble. En étant réalisables même en pleine mer, elles apportent autonomie, rapidité et facilité. Elles peuvent être aisément réutilisées après le remplacement du cône de compression. Elles sont réalisées en inox 316L et conçues pour une utilisation avec du câble monotorons (1x19). Ne jamais employer sur des fibres synthétiques ou de l'acier galvanisé. Montage très simple en suivant scrupuleusement la notice.
Certifié par la Lloyd's Register. -
L'étai creux s'installe sur l'étai. Il évite l'utilisation de mousqueton (impossible bien entendu d'ajouter un enrouleur !). Il permet de garder un parfait profil à la voile.
Souvent les étais creux sont à double gorge afin de pouvoir envoyer un foc avant d'avoir affaler l'ancien.Réalisés en composite, ils sont très légers pour ne pas alourdir les hauts.
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Aujourd'hui le spi n'est plus symétrique. Il ne se porte plus au bout d'un tangon. Pour le bonheur des plaisanciers qui voit les manoeuvres se simplifier, le spi s'amure à l'étrave et ne s'utilise plus qu'avec 2 écoutes (finis les bras, hale bas et balancine de tangon).
Pourtant pour être efficace, surtout en descendant dans le lit du vent, il faut que le spi soit le plus éloigné de la grand-voile pour éviter son dévent. Pour cela on utilise un bout-dehors. -
Le stick est un équipement que l’on trouve sur les bateaux à barre franche. C'est une sorte de rallonge de barre. Il permet de barrer dans une position optimum et de mieux sentir le bateau.
Il doit être choisi en fonction du bateau. Si le bateau a un comportement doux et équilibré, on s’oriente vers un stick léger. S’il est dur à la barre, il est préférable de prendre un modèle surdimensionné.
Sur les petits voiliers, le stick bâton est bien souvent suffisant. Sur un croiseur, le modèle raquette est mieux.
Il est toujours préférable de s’orienter vers un stick télescopique qui peut s’adapter à la largeur du cockpit et à la position du barreur. -
La manille universelle n’existe pas, il faut la choisir pour une fonction donnée. La manille universelle n’existe pas, il faut la choisir pour une fonction donnée. Par exemple, une manille torse pour un renvoi à 90°, une manille large pour la drisse de grand-voile ou encore une manille cosse pour un cordage.
Nous vous proposons, outre les manilles galvanisées pour le mouillage, des manilles forgées inox et des découpées inox.
Pour chaque produit certifié, nous vous donnons la charge de rupture. Cette dernière doit être divisée par 2,5 pour avoir la charge de travail.
L’avantage de l’inox forgé par rapport à l’inox moulé, est une résistance supérieure. En plus, il se déforme avant de casser. -
Un propulseur d'étrave est constitué d'une hélice installée perpendiculairement à la route, le plus près de l'étrave. Mue par un moteur électrique très puissant, cette hélice, pilotée depuis le poste de barre, souvent par un joystick, déplace l'étrave vers la gauche ou la droite. Associé avec le moteur principal, le propulseur d'étrave facilite les manoeuvres de port.
Pour être efficace, l'hélice du propulseur doit être placée le plus en avant possible (pour offrir le meilleur bras de levier), mais suffisamment immergée pour garder de la propulsion et ne pas brasser de l'air. C'est là tout le paradoxe, car sur les voiliers comme sur les vedettes, la partie avant de la carène est souvent peu enfoncée dans l'eau. Le positionnement d'un propulseur est donc un compromis. -
Hélice de hors-bord
- Il existe une multitude d'hélices de moteur hors-bord. On les classe en fonction de leur diamètre et de leur pas.
- A chaque bateau son hélice. Le modèle variera en fonction de la carène, du poids et de la puissance moteur. Le montage du moteur (en hauteur) peut aussi amener à changer d'hélice.
- On s'assure d'avoir la bonne hélice si le moteur prend bien les tours annoncés par le motoriste.
- Une hélice trop longue (trop grand pas) demandera trop de puissance et empêchera le moteur d'accélérer.
- Une hélice trop courte (pas trop petit) permettra au moteur d'accélérer (voir trop) mais le bateau n'aura pas sa vitesse maximum. -
L'enroulement d'un bout autour de l'arbre d'hélice est une avarie à ne pas prendre à la légère. Elle peut aller jusqu'à provoquer le naufrage de votre bateau.
Le coupe-orin est la réponse simple à ce risque : une lame fixée autour de l'arbre cisaille systématiquement tout cordage ou toute algue risquant d'être prise dans l'hélice.
Parmi les produits existant sur le marché, AD a choisi des modèles en acier inoxydable de 316 l, mono pièce, qui agissent par tranchage et non par cisaillement.
Le cisaillement concerne les modèles comprenant une partie fixe et une partie mobile. Nous considérons ces derniers plus dangereux car ils présentent le risque d'être coincé en cas de rencontre avec un câble d'un diamètre trop important et donc de bloquer ou d'endommager l'arbre d'hélice. -
Ils'agit d'assurer l'étanchéité au niveau de l'arbre d'hélice (un arbre tournant). Les progrès dans la maîtrise des matériaux industriels ont permis la mise au point de nouveaux systèmes de joints tournants pour la ligne d'arbre.
Le principe est simple : 2 bagues ont une surface polie (une bague inox et une bague graphite) en frottement l'une sur l'autre. L'une des bagues est solidaire de l'arbre d'hélice avec lequel elle tourne, l'autre est fixée au tube d'étambot par un soufflet néoprène qui assure une pression constante. L'eau de mer joue le rôle de lubrificateur entre les 2 bagues. Il est donc important que le tube d'étambot soit toujours plein d'eau. Pour les bateaux rapides dont le tube d'étambot se vide avec la vitesse, il existe des modèles à injection d'eau dans le soufflet (nous consulter). -
Les compte-tours sélectionnés par AD se branchent facilement sur tous les moteurs. Sur le dispositif batterie/bobine pour les moteurs essence et sur les alternateurs munis d'une borne "W" ou "R".
Leur face avant étanche et leur éclairage (en option) permettent de les installer sur une console extérieure.
Ils sont protégés contre une inversion de polarité et présentent une précision de plus ou moins 2%.